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Alessio Viola, Celui qui ne dormait pas

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Roberto De Angelis ne dort pas. Pour lui, jour et nuit se confondent plus ou moins, entre planques, filatures et hamburgers avalés dans sa voiture. Roberto est lieutenant de police à Bari, plus tout jeune, obsessionnel et désabusé par la corruption qui l’entoure. Sa vie bascule quand il infiltre le gang de Giacinto, jeune dealer aux dents longues. Peu à peu, une relation trouble se noue entre le jeune homme et le policier. Et puis il y a l’autre pan de la vie de Roberto, une femme médecin aux besoins sexuels très particuliers. Pris entre ces deux relations délétères, le bon flic va devenir un « bad lieutenant »…

Sombre polar des conurbs mafieux de Bari, assez réussi au demeurant. On ne sait plus très bien où est la morale en sortant de ce noir noir de café, où même les panzerotti sont gras et sinistres.

Roberto De Angelis avait le sommeil bref, très bref, dans le sens qu’il s’endormait toujours très tard, s’il s’endormait, et le matin se réveillait à six heures et demie, quoi qu’il ait fait la veille.

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  • Dernière modification : 2023/12/18 08:23
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