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Joseph Wambaugh, Le crépuscule des flics

“En une seule nuit de patrouille à Los Angeles, j'en savais certainement plus sur moi-même et sur l'humanité tout entière que n'en apprendront jamais, en toute une vie, ceux qui n'ont pas été flics… En quelques mois, à Hollywood, j'ai rencontré plus de menteurs, de malfaiteurs et de criminels en tout genre que pendant mes quatorze ans de carrière dans la police .”

Cette déclaration de Joseph Wambaugh, on pourrait la trouver dans la bouche d'Al ou de Martin, chargés de l'enquête sur l'assassinat - crime de rôdeur, vengeance ou aboutissement d'un chantage ? - d'une personnalité du tout-Hollywood.

Car Hollywood, ce n'est pas seulement le royaume de l'illusion et du rêve : on y tue, on y torture, on y vole, on y viole et on s'y drogue même un peu plus que dans n'importe quel autre endroit dit civilisé.

Les policiers ont-ils une âme ? Si la réponse est oui, Al et Martin sont-ils condamnés à perdre la leur, dans un tel milieu ? Le Crépuscule des flics nous entraîne dans le monde du cinéma, où parfois, même en technicolor, crime et violence règnent en maîtres.

Celui-ci j'avoue, je ne suis pas parvenu au-delà de la page 168. Puis je me suis dit: “mais pourquoi suis-je si maso ?”. Et je l'ai refermé.

Faut que je pense à un ennemi à qui le filer.


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  • Dernière modification : 2023/12/27 06:04
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