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Henning Mankell, L'Homme qui souriait

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C'est ma copine Anne qui m'a filé ce bouquin qui est tombé dans son bain - il ne sent pas le bain-mousse mais est tout gondolé.

Kurt Wallander revient d'une longue dépression avoir avoir dégommé un méchant. Le meurtre de son ami le motive à retourner faire le keuf. Et il se retrouve mêlé aux affaires d'un riche souriant, qui n'est en fait pas un gentil.

Un très bon Mankell dont j'ai particulièrement apprécié le rythme - on commence par le lent réveil de Wallander et ça se réchauffe au fur et à mesure pour finir assez exalté, ce qui est rare pour un roman suédois.

Par un épais brouillard, l'avocat Gustav Torstensson rentre chez lui en voiture quand, au milieu de la route, il aperçoit un mannequin assis sur une chaise. Il freine, sort de sa voiture et reçoit un coup mortel sur la nuque.

Pendant ce temps, l'inspecteur Kurt Wallander, épuisé et déprimé, envisage de démissionner. Aussi, quand son vieil ami l'avocat Sten Torstensson vient lui demander de l'aide — son père Gustav vient de mourir dans des circonstances mystérieuses —, l'inspecteur refuse : il a décidé de quitter la police. Mais de retour à Ystad, lorsqu'il apprend que Sten Torstensson est mort, tué par balle, il change d'avis, déchire sa lettre de démission et demande à se charger de l'enquête sur la mort des deux avocats. Il découvre bientôt que Gustav Torstensson s'occupait presque exclusivement des affaires d'Alfred Harderberg, richissime propriétaire de sociétés dans le monde entier.

Source: wikipédia

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  • Dernière modification : 2023/12/18 08:23
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