Tsipras sur la sellette
Bravo à Bruxelles: à force de non-concessions, la démocratique Europe est parvenue à diviser Syriza au point de non-retour.
Tout a commencé lors du renvoi de Yanis Varoufakis par Aléxis Tsípras, alors même que ce dernier était porté aux nues par le succès du référendum de juillet.
Pourquoi donc céder à ce moment?
Grave erreur à mon sens, et sans doute le début de la fin pour le premier parti de gauche au pouvoir en Europe depuis la fin de la Deuxième guerre mondiale[1]
Divisée, l'extrême-gauche grecque peine à retrouver l'union. Sans un véritable sursaut, c'est la défaite assurée. Dommage. Très.
Note
[1] c'est volontairement provo - mais est-ce si faux?