Sarajevo

Nous nous retrouvons dans une vraie ville pour la première fois depuis Varna, assez déconcertant mais les conducteurs bosniaques sont moins graves que les bulgares. Arrêt dans le parking juste après le tristement célèbre marché, très animé et sympathique 12 ans après la fin des évènements. Comme me l’explique Saalem (cf. infra), le sol détermine la zone de la ville: pavés sur le côté turc, depuis la bibliothèque détruite par la guerre et en attente de crédits pour une hypothétique reconstruction, s’arrêtant peu après la mosquée et sa rafraîchissante fontaine, pour céder la place (ou est-ce l’inverse) à un sol de marbre autrichien qui, fourbe catholique, se révèle extrêmement glissant après la pluie.

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